Voici la réaction des deux entraîneurs après la victoire tourangelle sur Nîmes, ainsi que celle d'Olivier Giroud, auteur d'un doublé.
Daniel Sanchez (Entraîneur du Tours FC) : "On a connu un début de match difficile, on se dit que ce n'est pas facile de jouer avec un peu de pression. On l'a vu quand on prend ce premier but un peu (...) pas gag mais presque. Cela nous a fait déjouer pendant vingt à vingt cinq minutes et puis on ne s'est finalement pas trop affolé, on a continué à mettre la pression et on a réussi à renverser la vapeur. D'abord sur coups de pieds arrêtés puis ensuite dans le jeu en seconde mi-temps.
Je pense que ça va nous faire énormement de bien, c'est une victoire quand même assez large. Une victoire logique et méritée. Au-delà des trois points, pour la confiance le résultat de ce soir est une très bonne chose.
Je suis satisfait de l'état d'esprit et de la force de caractère de mes joueurs sur cette rencontre. Ils ont été solidaires et combatifs, c'est quelque chose qu'il faudra garder à l'esprit pour les prochains matchs."
Jean-Michel Cavalli (Entraîneur du Nîmes Olympique) : "Ce soir on est récompensé du nombre de cadeaux qu'on a offert à notre adversaire. Nous avions fait le plus difficile en marquant rapidement, on a été costaud pendant 35 minutes et au moment où Tours doutait on leur a fait deux beaux cadeaux de suite.
Je craignais les coups de pieds arrêtés face à cette équipe de Tours qui était dans le doute et résultat des courses les deux premiers buts sont venus de phases de jeu arrêtées. J'avais pourtant bien mis l'accent sur le fait qu'il fallait éviter les fautes à 25 mètres ... C'est dur à avaler. Mais je n'ai finalement pas de regrets à avoir, quand on perd un match sur un tel score il faut savoir être lucide et accepter la défaite, mais vous savez, quand on est dans une course au maintien, si on doit perdre des matchs, ce n'est surtout pas de cette façon qu'on doit les perdre.
J'ai toujours dit qu'on partait de loin et qu'à la première défaite il y aurait des conséquences, finalement ce soir au vu des résultats des autres rencontres, il n'y en a pas beaucoup. Maintenant il faudra attendre le 29 Mai, plus que jamais, pour savoir si le Nîmes Olympique restera en deuxième division"
Je pense que ça va nous faire énormement de bien, c'est une victoire quand même assez large. Une victoire logique et méritée. Au-delà des trois points, pour la confiance le résultat de ce soir est une très bonne chose.
Je suis satisfait de l'état d'esprit et de la force de caractère de mes joueurs sur cette rencontre. Ils ont été solidaires et combatifs, c'est quelque chose qu'il faudra garder à l'esprit pour les prochains matchs."
Jean-Michel Cavalli (Entraîneur du Nîmes Olympique) : "Ce soir on est récompensé du nombre de cadeaux qu'on a offert à notre adversaire. Nous avions fait le plus difficile en marquant rapidement, on a été costaud pendant 35 minutes et au moment où Tours doutait on leur a fait deux beaux cadeaux de suite.
Je craignais les coups de pieds arrêtés face à cette équipe de Tours qui était dans le doute et résultat des courses les deux premiers buts sont venus de phases de jeu arrêtées. J'avais pourtant bien mis l'accent sur le fait qu'il fallait éviter les fautes à 25 mètres ... C'est dur à avaler. Mais je n'ai finalement pas de regrets à avoir, quand on perd un match sur un tel score il faut savoir être lucide et accepter la défaite, mais vous savez, quand on est dans une course au maintien, si on doit perdre des matchs, ce n'est surtout pas de cette façon qu'on doit les perdre.
J'ai toujours dit qu'on partait de loin et qu'à la première défaite il y aurait des conséquences, finalement ce soir au vu des résultats des autres rencontres, il n'y en a pas beaucoup. Maintenant il faudra attendre le 29 Mai, plus que jamais, pour savoir si le Nîmes Olympique restera en deuxième division"
Olivier Giroud (Attaquant du Tours FC) : "C'est bien pour toute l'équipe d'avoir renouer avec la victoire après cinq matchs sans victoire. Surtant devant notre public qui nous soutient depuis le début. C'est bien, maintenant il faut assurer le maintien. La route n'est pas terminée, le chemin sera sans doute périlleux. Il va falloir ramener quelque chose de Châteauroux, et après je pense qu'on pourra envisager la suite plus sereinement."
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