
Les quatre victoires d’affilée
« On a eu de la réussite. Un match, ça tient à peu de chose. Mais on l’a aussi forcée, cette réussite, en gagnant souvent par un petit but d’écart.»
Tours à l’aller
« On avait fait match nul, mais c’était début janvier. J’avais laissé Montano et Costa partir chez eux en vacances pendant la trêve. Ils n’étaient pas au mieux, au retour. Donc, je ne tire pas d’enseignements de ce match. »
Le parcours de Tours
« Il me surprend sans me surprendre. Il arrive souvent qu’une équipe monte en National et dans la foulée, effectue une belle saison en Ligue 2. Je me souviens de Clermont... Le plus dur, c’est la saison d’après, il faut confirmer et les adversaires sont prévenus. Cela devient beaucoup plus difficile. »
La pancarte dans le dos
« Ce n’est pas évident car comme Metz, Lens ou Strasbourg, Montpellier est un nom. Il a un passé, des gens comme Nicolin et Mézy à la tête du club qui sont connus. À partir de là, Montpellier est attendu partout et devient l’équipe à battre. C’est très compliqué. On a d’autant plus de mérite d’avoir fait un bon parcours à l’extérieur. »
Le jeu offensif
« Vous me parlez des matchs à l’extérieur où nous avons de bons résultats. Mais à domicile, nous sommes bien aussi puisque nous sommes la deuxième équipe de L2. »