Tenema N'Diaye, attaquant du FC Nantes : « Nantes est un grand club »
Interview du malien Tenema N'Diaye, première recrue du FC Nantes Atlantique.
Pourquoi Nantes ?
« Tout le monde le sait : Nantes est un grand club, qui a de l'ambition.
Depuis gamin, je connais Nantes, comme Paris, Marseille ou Lyon. Il représente beaucoup. Je n'ai pas réfléchi sur le plan financier mais sportif. »
Quel a été le discours des dirigeants ?
« C'est toujours une équipe compétitive. L'objectif, c'est de remonter au plus vite. Il n'y a plus rien à dire : je viens à Nantes pour remonter. »
Content de retrouver Claudiu Keserü ?
« Bien sûr. Tout comme je suis content de retrouver le FCN même s'il descend. Ça ne me dérange pas. Nantes reste Nantes. »
Sa présence vous a-t-elle influencé quelque peu ?
« Oh, c'est venu par hasard ! Ça me fait plaisir de le retrouver. Il m'a fait du bien. On se comprend bien. Il joue simple, je le respecte. C'est un grand joueur. Il nous a fait défaut en fin de championnat.
Avec lui, on serait peut-être monté. »
Connaissez-vous certains Canaris ?
« Je connais Bagayoko. On a joué ensemble en sélection. On s'entend bien. C'est vrai, il va peut-être partir. C'est comme ça. »
Vous fixez-vous un objectif en terme de buts ?
« Pour l'instant, je ne parle pas. Ce sont mes pieds qui parlent... Cette saison, j'en ai mis onze. Malheureusement, je n'ai pas disputé tous les matches. Certaines choses se sont passées... En L2, j'espère entre 12 et 15. Avec Claudiu, je suis sûr de l'atteindre (rires)... »
Le fait que le club traverse crise sur crise, ça ne vous fait pas peur ?
« Non, non. Sportivement, ça reste un grand club, ambitieux. »
Quel est votre programme durant les vacances ?
« Je dois jouer avec la sélection contre le Ghana (7 juin) et le Bénin (21). Ce n'est pas tous les ans que l'on dispute de telles compétitions (éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations et de la coupe du Monde). Il faut en profiter. C'est mon pays. »
« Tout le monde le sait : Nantes est un grand club, qui a de l'ambition.
Depuis gamin, je connais Nantes, comme Paris, Marseille ou Lyon. Il représente beaucoup. Je n'ai pas réfléchi sur le plan financier mais sportif. »
Quel a été le discours des dirigeants ?
« C'est toujours une équipe compétitive. L'objectif, c'est de remonter au plus vite. Il n'y a plus rien à dire : je viens à Nantes pour remonter. »
Content de retrouver Claudiu Keserü ?
« Bien sûr. Tout comme je suis content de retrouver le FCN même s'il descend. Ça ne me dérange pas. Nantes reste Nantes. »
Sa présence vous a-t-elle influencé quelque peu ?
« Oh, c'est venu par hasard ! Ça me fait plaisir de le retrouver. Il m'a fait du bien. On se comprend bien. Il joue simple, je le respecte. C'est un grand joueur. Il nous a fait défaut en fin de championnat.
Avec lui, on serait peut-être monté. »
Connaissez-vous certains Canaris ?
« Je connais Bagayoko. On a joué ensemble en sélection. On s'entend bien. C'est vrai, il va peut-être partir. C'est comme ça. »
Vous fixez-vous un objectif en terme de buts ?
« Pour l'instant, je ne parle pas. Ce sont mes pieds qui parlent... Cette saison, j'en ai mis onze. Malheureusement, je n'ai pas disputé tous les matches. Certaines choses se sont passées... En L2, j'espère entre 12 et 15. Avec Claudiu, je suis sûr de l'atteindre (rires)... »
Le fait que le club traverse crise sur crise, ça ne vous fait pas peur ?
« Non, non. Sportivement, ça reste un grand club, ambitieux. »
Quel est votre programme durant les vacances ?
« Je dois jouer avec la sélection contre le Ghana (7 juin) et le Bénin (21). Ce n'est pas tous les ans que l'on dispute de telles compétitions (éliminatoires de la Coupe d'Afrique des nations et de la coupe du Monde). Il faut en profiter. C'est mon pays. »
Recueilli par J.-Y. Q. - Presse Océan
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