-
Tours FC - LB Châteauroux : 3-1 ; Buts : Oniangué (11'), Berenguer (53') et Bergougnoux (81') pour Tours, Jeannot (38' sp.) pour Châteauroux ; Stade de la Vallée du Cher : 4.094 spectateurs ; Ligue 2 : 23ème journée ; Arbitres : M. Millot assisté de MM. Luzi et Benkemouche ; Avertissements : Bergougnoux (27'), Schwechlen (37') et Fabre (56') à Tours, Jeannot (41') et Obiang (76') à Châteauroux ; Expulsion : Dudouit (16') à Châteauroux.
Victoire importantissime du Tours FC face à un concurrent direct pour le maintien. Encore une fois, les hommes de Bernard Blaquart ont prouvé qu'ils avaient largement le niveau.
Doucement mais sûrement, le Tours FC grapille des points. Avec désormais 28 au compteur, à 16 journées de la fin du championnat, la bande à Pascal Berenguer à de quoi voir venir. L'objectif est seulement le maintien et même sans un garçon comme Jérémy Blayac, le Tours FC reste plus que solide à domicile.
Face à Châteauroux, c'est ce bon vieux Prince Oniangué, tout heureux de retrouver la Vallée du Cher après une escapade à Troyes, qui a ouvert le score de la tête sur un service de Ketkeophomphone (1-0, 11'). Malheureusement, le congolais quitte la pelouse dans la foulée suite à un choc avec Dudouit, sévèrement expulsé sur le coup (16').
Le Tours FC domine alors le match mais manque de tuer la rencontre. Bergougnoux ratant le cadre en position pourtant idéale (30') ! Dur à avaler d'autant que Châteauroux va égaliser sur penalty, Schwechlen ayant suppléé son gardien, de la main lui aussi (1-1, 38').
A la reprise, c'est Berenguer qui d'un beau geste va redonner le sourire aux siens, au coin de la surface de réparation (2-1, 53'). A onze contre dix, Tours aurait du se mettre à l'abri plus tôt. Par Ketkeophomphone ou encore Kouakou. Mais c'est finalement encore Bergougnoux qui allait le faire, d'un contre dynamité par Gamiette (3-1, 81').
Tours FC : Leroy (cap.) - Cétout, Fabre, Schwechlen, Moimbé - Oniangué (Chavalerin 17'), Berenguer, Gamiette - Ketkeophomphone (Biancardini 87'), Bergougnoux, Kouakou. Entraîneur : Bernard Blaquart.
Commenter cet article